À force de faire défiler des contenus, d’absorber des récits bien rodés et des injonctions à “performer sa communication”, on en vient parfois à douter de ce que l’on a, soi, à raconter.
Dans mon métier de rédactrice, je croise souvent ce vertige. Celui d’avoir tant de choses à dire… mais de ne pas savoir comment le dire autrement que “comme tout le monde”. Et pourtant, je suis convaincue d’une chose : notre singularité est notre plus grande richesse.
Le monde ne nous demande pas d’être parfaits, ni formatés — mais de témoigner depuis notre prisme.
De faire passer, par nos mots, ce que nous seuls percevons. Ce que nous seuls ressentons.
C’est ce type de voix, de récits sensibles et incarnés, que je m’efforce d’accompagner :
- dans mes collaborations éditoriales,
- dans les récits de projets publics,
- et dans mon propre travail d’écriture.
Dans un article publié sur ma newsletter Substack, j’explore la thématique de la standardisation à travers un parallèle entre les rues de Lisbonne et les fils d’actualité de LinkedIn. Un regard personnel sur ce monde qui s’uniformise — et l’urgence de retrouver son souffle.
Lire l’article complet “Lisbonne, LinkedIn et le reste”
Ces mots résonnent avec vous ?
J’écris régulièrement sur l’art de ralentir, de créer et de tracer sa voie en toute sensibilité.
Pour poursuivre ce chemin ensemble, vous pouvez :
– vous abonner à ma newsletter Tenderness as usual pour recevoir mes pensées longues et les coulisses de ma créativité ;
– découvrir mon cercle Poids Plume en préparation, un espace de création et de légèreté à venir cet automne.
Merci de votre lecture !
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